You are seeing the paginated version of the page.
It was specially created to help search engines like Google to build the proper search index.

Click to load the full version of the page
Hommage à Freud, Jean-Michel JOURNIAC, photographies, 1972

 
Ulric COLLETTE, Portraits génétiques – Roxane-Jill Portraits génétiques est un travail de recherche photographique d’Ulric Collette sur les ressemblances génétiques entre les membres d’une même famille. Simple et original, le photographe prend en photo deux membres d’une même famille et à l’aide d’un logiciel de traitement d’image rassemble la moitié gauche d’un des deux portraits avec la moitié droite de l’autre afin d’en reconstituer un seul.

 
BURSON Nancy (née en 1948), First and Second Beauty Composites, 1982, stars des années 1950, avec à gauche : Bette Davis, Audrey Hepburn, Grace Kelly, Sophia Loren, Marilyn Monroe. A droite : Jane Fonda, Jacqueline Bisset, Diane Keaton, Brooke Shields, Meryl Streep.

 
Thomas Ruff Dans sa série "Les autres portraits" réalisés en 1994, l'artiste crée une ambiguïté entre le réalisme de ses portraits, qui excepté le format ressemblent à des photos d'identité, et le fait que ce sont des portraits crées artificiellement, à l'aide d'une unité de montage permettant aux services secrets d'Allemagne de l'Est de réaliser des portraits robots. Pour créer ces visages qui ne représentent personne, il a associé deux, parfois 3 portraits pris quelques années plus tôt de ses amis étudiants lorsqu'il était lui même étudiant. Entre ressemblance et vraisemblance...

 
Peter Beard, Autoportrait ,photographie, sang séché.
En 1965, Peter Beard, écrivain, photographe, documentariste, publie son premier recueil mêlant texte et photographies, "The End of the Game" et témoigne d'une façon originale (mêlant à ses clichés du sang séché, des brins de végétaux, des bouts de tissus et des coupures de presse, son art dit du "scrap book") de la disparition des éléphants au Kenya. À partir de 1972 et pendant une trentaine d'années, il fait se rencontrer des mondes qui n'ont pas vocation à se croiser, en alternant sa vie au Kenya dans la savane et sa vie de jet-setter à New York. Il collabore avec Andy Warhol, Francis Bacon, Mick Jagger, ou encore Truman Capote ou Jackie Kennedy.
 

Dans cette intéressante série Self, Julie Kainabisa propose des autoportraits complétés d’éléments simples comme des coulures de cire colorée, du papier, des découpages, de la laine, ou du plastique.

On reconnaît des éléments propres au domaine de l’esthétique et à celui de la mode, ainsi qu’un travail autour des yeux de papier et de l’expression des émotions. Julie Kainabisa intitule elle-même sa série « Contemplation léthargique de l’humanité » et on ressent en effet comme un engourdissement contemplatif très bien rendu.

On peut voir plus de son travail sur Instagram .


 
Littéralement inspiré d'une phrase de Raymond Roussel dans Impressions d'Afrique (publié en 1910 cet ouvrage inspira les surréalistes bien des années plus tard), Dieter Appelt réalise en 1977 une série d'autoportraits intitulé “La tache que produit le souffle sur le miroir“.
 
Dix portraits de Christian Boltanski, Christian BOLTANSKI, photographies, 1972
 
Saul Leiter
Autoportrait , env. 1959 Impression chromogénique 35,6 × 27,9 cm
Saul LEITER fut l’un des pionniers de la photographie contemporaine couleur à une époque où seul le noir et blanc était digne d’intérêt. Il est considéré pour l’essentiel de son travail comme un photographe des rues de New York ; il fut cependant plus réputé pour ses photographies de mode. Son but n’est pas d’illustrer la vie citadine, mais de rechercher les instants et les scènes fugaces. Il travaille des cadrages originaux en utilisant des vides (noirs) dans ses images. La succession des plans y superpose différentes histoires génératrices de mystère. Il aime le flou — il joue de la mise au point —, la buée et l’anonymat des passants.

 
Autoportrait aux gants (représentation distincte de soi, fin XVe), Albrecht DÜRER, peinture sur bois, 1498 L'Autoportrait aux gants (ou Autoportrait à vingt-six ans) est une huile sur panneau (52 × 41 cm) d'Albrecht Dürer, datée de 1498 et conservée au musée du Prado à Madrid. Elle est signée et porte l'inscription : « Das malt ich nach meiner gestalt / Ich war sechs und zwenzig Jor alt / Albrecht Dürer » (« J'ai peint ce tableau selon mon aspect quand j'avais vingt-six ans. Albrecht Dürer »).